Cette peinture acrylique s’inscrit dans la série « Équations Magiques » et illustre la découverte par Max Planck du monde quantique et de sa constante. Cette constante est intégrée dans l’œuvre sous forme d’espace (m), de temps (s), et d’énergie (J/s).
Au début du XXe siècle, Max Planck résout le problème du « rayonnement du corps noir » et démarre la « théorie quantique ». L’énergie des atomes ne peut s’échanger que par multiples d’une quantité particulière, appelée depuis constante de Planck. La physique quantique apporte des concepts peu intuitifs : la dualité onde corpuscule, la superposition quantique, l’intrication quantique ou encore la non-localité.
« Planck » est aussi un observatoire spatial développé par l’Agence spatiale européenne (ESA) avec une participation de l’agence spatiale américaine, la NASA. La mission du satellite était de cartographier les infimes variations de température (ou d’intensité) du fond diffus cosmologique, rayonnement dans le domaine micro-onde montrant l’Univers tel qu’il est 380 000 ans après le Big Bang.
La peinture illustre la carte de l’univers entourée de la constante. Il est assez paradoxale de mélanger l’univers ( 46 milliards d’années-lumière) et la distance la plus courte possible (1,6 x 10^-35 m)
At the start of the 20th century, Max Planck solved the problem of « black body radiation » and started « quantum theory ». The energy of atoms can only be exchanged in multiples of a particular quantity, since called Planck’s constant. Quantum physics brings concepts that are not very intuitive: particle wave duality, quantum superposition, quantum entanglement or even non-locality.
“Planck” is also a space observatory developed by the European Space Agency (ESA) with a participation of the American space agency, NASA. The satellite’s mission was to map the tiny variations in temperature (or intensity) of the diffuse cosmic background, radiation in the microwave domain showing the Universe as it is 380,000 years after the Big Bang.
The painting illustrates the map of the universe surrounded by the constant. It is quite paradoxical to mix the universe (46 billion light years) and the shortest possible distance (1.6 x 10 ^ -35 m)