Cette série d’œuvres « Écran Total » explore des scènes classiques du monde virtuel par l’entremise des écrans plats d’ordinateurs ou de télévisions.
L’écran virtuel est démodé. Vive l’écran total qui est bien réel !
L’usine de production ainsi que le laboratoire de recherche pour ces écrans est actuellement à Case Pilote, Martinique. Des filiales doivent bientôt voir le jour à Montréal, Miami, Londres, Paris, Dubaï et Shanghai…
La première exposition de ces œuvres a été lors de « Convergences Caraïbes 2013 » à l’Atrium de Fort-de-France. Vous y trouverez la description complète de certains écrans.
Être réel devient difficile à notre époque d’images, de projections et de faux semblants. Comment peut on être sur de vraiment voir et parler à une personne plutôt qu’a un robot lorsque l’on est connecté ? L’absence de volume combinée à la froideur des écrans plats classiques est mise en brèche par cette œuvre très captivante
Grâce aux ordinateurs et aux réseaux sociaux (Facebook, Google+, Twitter, LinkedIn, YouTube, Skype, etc..) tout le monde peut enfin trouver l’âme sœur avec votre « Écran Total » ! Il n’y a que l’embarras du choix parmi les milliers d’amis que vous allez avoir après avoir publié votre photo.
Si votre écran d’ordinateur se met à ressembler à cet « Écran Total », vous avez de graves soucis à vous faire pour l’intégrité et la confidentialité de vos données ! Mais peut on savoir ce qui a attiré les Anonymous sur votre bécane ? Avez vous des trucs à cacher ? Tout sera dévoilé tôt ou tard…
Cette composition froide et géométrique montre les différentes couches qui composent désormais notre cadre référentiel consistant d’un écran plat. Seuls quelques pixels brillent encore dans cet univers constructiviste.
Cet « Écran Total » est pour ceux qui préfèrent la nature à la technologie. Vous y verrez des plantes, des animaux, des étoiles, etc..
Cette œuvre est une tentative de représentation au delà de la troisième dimension (et même de la quatrième si l’on prends en compte son aspect intemporelle). A cet effet l’usage judicieux de filtre polarisé, d’éclairage LED et de cristaux de Kryptonite permet d’obtenir un effet troublant pour la vision normale qui peine a trouver des repères. Le cadre 3D (qui fait parti intégrante de l’œuvre) renforce l’effet car il montre bien que la “zone interne” est très différente de la “zone externe”. Bien entendu, nulle photographie n’est en mesure de reproduire l’effet obtenu.